Un total de 57 flics d’intervention d’urgence du service de police de Buffalo ont démissionné pour protester contre la suspension de deux collègues pour avoir poussé le militant de la paix de 75 ans, Martin Gugino, sur un trottoir, lui brisant le crâne (Photo: .)
Toute l’équipe d’intervention d’urgence d’une force de police a démissionné de dégoût après que deux de ses collègues ont été suspendus pour avoir poussé un militant de la paix de 75 ans sur un trottoir en béton.
Un total de 57 agents ont quitté leur poste d’urgence au service de police de Buffalo, dans le nord de l’État de New York, vendredi après-midi, pour protester contre la suspension de leurs collègues sans nom sans salaire.
Annonçant cette décision dramatique, le président de la Buffalo Police Benevolent Association, John Evans, a déclaré au Investigative Post: « Cinquante-sept ont démissionné de dégoût à cause du traitement de deux de leurs membres, qui exécutaient simplement des ordres. »
Il est difficile de savoir si les officiers impliqués ont entièrement quitté la force ou s’ils ont simplement démissionné de l’équipe d’intervention d’urgence à laquelle ils appartiennent.
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La démission de masse est intervenue quelques heures après la diffusion d’une vidéo montrant les policiers scandalisés ont poussé Martin Gugino sur une dalle de béton à l’extérieur de l’hôtel de ville de Buffalo jeudi soir.
Cette poussée a amené Gugino à lui ouvrir la tête, le manifestant âgé étant toujours gravement malade à l’hôpital. Les deux policiers font désormais également l’objet d’une enquête criminelle.
Buffalo PD a déclenché une tempête de mensonge après avoir publié une déclaration affirmant que Gugino s’était blessé après avoir « trébuché », malgré des preuves vidéo montrant clairement qu’il avait été poussé.
Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a demandé que les flics impliqués soient licenciés et inculpés lors de son briefing quotidien sur les coronavirus vendredi après avoir déclaré que les images lui donnaient la nausée.
Il a expliqué: «J’avais mal à l’estomac… c’était le même sentiment que j’avais pour 90 des nuits passées quand j’ai eu le bilan des décès dus au coronavirus. J’étais physiquement malade à l’estomac. »
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